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Le retour au bureau nécessite un air intérieur purifié
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Plus que jamais, nous nous demandons si l’environnement dans lequel nous vivons est sain. Au plus de personnes retourneront au bureau, au plus les exigences et les attentes des collaborateurs et des clients seront élevées. Si les premiers pas sanitaires sont faits avec les masques buccaux, le gel pour les mains et une cadence de nettoyage augmentée, il faut aussi accorder de l’importance à l’air intérieur.
Les règles relatives à la qualité de l’air intérieur dans les immeubles de bureau existent en principe depuis 2016, et l’AR Lieux de travail a fait l’objet d’une révision en mai 2019. Cependant, compte tenu de la menace invisible du coronavirus aéroporté, les utilisateurs et les gestionnaires de bâtiments font face à une cible concrète, urgente et imprévue. « Nous savons désormais que lorsqu’une personne infectée parle ou éternue, le coronavirus se répand dans l’air pendant un laps de temps », explique l’hygiéniste du travail Peter Boodts (Atmosafe). « L’air intérieur joue aussi un rôle dans la transmission du virus à d’autres niveaux. Premièrement, les aérosols et les particules fines le maintiennent plus longtemps dans l’air. Deuxièmement, l’humidité de l’air, le taux d’ozone et la présence de COV ont un impact sur le système immunitaire des utilisateurs, et conduisent à un degré de contamination supérieur. »
En d’autres termes, le corona n’est pas une cible unique mais il est directement lié à la qualité globale de l’air intérieur. « Même sans considérer le corona, il y a un impact important sur la santé, la concentration et la productivité des collaborateurs. La situation actuelle doit donc inciter à évaluer et à garantir la qualité de l’air intérieur dans sa globalité. » ...
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10/05/2021
Office Management - Nettoyage et Hygiène - Aménagement et Workplace Design
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