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Le coworking disrupte le marché immobilier
Nous assistons depuis un an et demi à une expansion soutenue des centres de coworking, principalement à Bruxelles mais également à Anvers. La croissance de ce nouveau marché immobilier est telle qu’en 2018, la prise en occupation par des centres de coworking a représenté plus de 50.000 m2 soit 20% du take-up annuel du marché de bureaux. Cette émergence n'est pas une tendance passagère. Elle marque une évolution de l'immobilier, de la propriété à l'usage de solutions de bureaux partagés all-in, facilities incluses. Elle répond à la demande de plus de flexibilité des contrats de location (durée et surface) lorsqu’il s’agit de bureaux fixes dédiés, intégrés dans ces centres.
| 26/04/2019
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Le Port et la Ville renforcent mutuellement leur image
North Sea Port assure la gestion du domaine portuaire de Gand, de Terneuzen à Vlissingen. North Sea Port est né de la fusion transfrontalière entre Havenbedrijf Gent et Zeelands Seaports. Comme les activités portuaires se sont développées plus au nord dès le Moyen-Âge, il y avait une volonté de renforcer le lien avec la Ville de Gand et l’adhésion au port. C’est dans ce cadre que la Maison des Francs-Bateliers, un splendide bâtiment situé sur la Graslei au cœur historique de Gand, a subi une métamorphose.
| 27/03/2019
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Résurrection d’un site industriel, privilégiant la plus-value relationnelle
Au milieu des années 50 du siècle dernier, Philips a érigé à Hasselt une usine – la première en dehors de son berceau historique, Eindhoven – destinée à la conception de ses produits technologiques. Philips Hasselt restera pour toujours associé à l’invention de la cassette compacte en 1963 et du CD en 1982. Le site fermait pourtant ses portes vingt ans plus tard.
| 22/01/2018
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Immobilier de bureaux à Bruxelles - marché toujours en mutation
Le marché de bureaux bruxellois était marqué en 2015 par une prise en occupation en baisse de 18 % par rapport à la moyenne de ces 8 dernières années (± 450.000 m²). Ces résultats décevants étaient entre autres dus à une activité réduite du secteur public, à peu de transactions de grande envergure, tout cela dans un état d’esprit général de méfiance face à la menace terroriste. Contrairement à 2015, en 2016 le takeup redécolle de près 14 % pour avoisiner les 430.000 m² sur un an. Retour à la normale ? Pas tout à fait. Analyse critique de cette évolution par Guibert de Crombrugghe et Adrien Meert du bureau de conseil et expertise De Crombrugghe & Partners.
| 20/12/2017
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